Dernières réponses | | Anaër fronça légèrement les sourcils et baissa la tête. Le ciel sembla s'obscuricirent, mais ce n'était pas un fait de l'Elfe. Il ferma un instant les yeux et les rouvrit. Il déclara alors : "Vous le savez... Les Aësìens sont compliqués..." Il redressa la tête et se leva. Sa jambe le fit souffrir un instant et il se rasseya. Il ferma les yeux et leva le bas de son pantalon. Une longue cicatrice, à vif, se faisait voir. Anaër marmonna quelque chose d'incompréhensible et une lueur bleue apparut au niveau de sa main et il la passa sur sa joue. La blessure de ne se referma pas mais fut tout au moins apaisée pendant un temps limité. Il soupira et dit : "Tsukiyo est maudite... Elle risque de devenir un pantin pour notre famille... Neji... Ce que je vais te dire, vous allez sûrement vous énerver à cause de ça..." Il regarda le jeune homme. Les yeux bleu-gris d'Anaër croisèrent les yeux blancs de l'Irosawa. Il déclara alors : "... Si je vous demande de ne plus vous approcher d'elle, c'est à cause de ce qu'elle est. Nos races doivent rester éloigner l'une de l'autre. Vous avez assez parler avec elle pour comprendre que son passé est terrible et que son fardeau est horrible. |
| | Pas très aggréable ? Tu parles, Neji n'aimait tout simplement pas les elfes, ce n'était pas une question de pas commode ou pas. Même si il préférait largement Tsukiyo à Kimiyo, cette dernière était complètemet toqué! Après tout, chacun avait sa petite histoire. Pendant un instant, Neji fronça les sourcils quand Anaer lui demanda de ne plus approcher Tsukiyo. Hein ? Que ? Quoi ? COmment ? "Et pourquoi...? Elle a la grippe ?" C'était un peu pour se foutre de la poire du jeune infirmier, mais c'était une question que même Neji trouvait complètement décalé et stupide. |
| | "Pas très agréables, n'est-ce pas ?" Il savait pertinnement que Tsukiyo et Kimiyo n'était absolument pas commode. Mais, c'était normal, avec ce qu'elles vivaient en ce moment. Il eut un léger sourire et finalement, grimaça. La journée était minable. Une guerre civile devait encore faire rage quelque part. La nature était encore et toujurs abîmée. Il poussa un léger soupir et dit : "Ne vous... approchez pas de Tsukiyo." |
| | Anaër était bien un étrange personnage, pendant un instant, Neji se retint de dire un 'hein' étonné. Sa patte molle se réveille ? Drôle de façon de parler, mais après tout, chacun avait son truc. Neji resta debout devant l'infirmier, gardant le silence jusqu'à que ce dernier affirma qu'il connaissait ses cousines. Oui, Neji était au courant que la famille Devanaia était arrivé en troupeau dans cette école, c'était l'une des premières choses qu'il avait pu remarqué, ces choses qu'étaient les elfes. Neji pencha un peu la tête vers la gauche, ne quittant pas Anaer des yeux puis dit d'une voix neutre : "Hum... on va dire que oui." Que dire d'autre. Il ne les aimait pas, il n'allait pas commencer à faire un débat sur ces filles. |
| | Anaër resta impassible quand Neji le dévisagea, l'étudia. Il avait l'habitude maintenant. Anaër faisait preuve d'une grande prestance pour un Vicomte, ce qui était rare. L'Aësìen regarda la nature autour de lui, calme. Puis, il déclara : "Cela détent... Certes... Mais, ça n'a rien à avoir avec l'Aësìe..." Il secoua la tête et regarda Neji. Il était aussi imposant pour un Humain. Pendant la Grande Guerre, Anaër en avait vu. Mais aucun n'avait la gabarit, l'assurance du jeune homme. Anaër retint un grimace et préféra s'asseoir. Il dit alors, sur le ton de la plaisanterie : "Ma patte folle se réveille... Veuillez m'excuser... Je dois m'asseoir... Un moment." Il regarda le ciel, d'un air songeur et dit alors : "Vous connaissez sûrement mes cousines, non ? Kimiyo et Tsukiyo..." |
| | Neji regarda avec attention le jeune infirmier, il était plutôt imposant, en fait, c'était un elfe. Normal qu'il soit imposant. Le jeune humain le regarda pendant un instant de haut en bas, l'identifiant longuement. C'était bien un membre de la famille de Tsukiyo. Mais pourquoi avaient ils tous décidé de venir dans la même école ? Elle était si réputé que cela ? Neji hocha la tête pour approuver quand Anaer dit "préfet..." Puis il lui posa une question qui aurait pu faire rire l'Irosawa. "Magnifique journée, certes. J'ai besoin d'air, les gens de l'école m'étouffe." Neji resta songeur pendant une fraction de seconde puis dit : "Ce lieu est calme, et ça détent." |
| | Anaër resta un moment silencieux, immobile. Mais, quand un jeune homme lui parla, il releva la tête, ses yeux bleu-gris croisant le regard blanc du jeune homme. Il eut un léger sourire et inclina la tête en signe de salut. Puis, il annonça alors, en cornant la page de son livre : "Préfet..." Il se releva, de toute sa hauteur, mais ne le surplombant pas d'une manière arrogante. Il garda son léger sourire aux lèvres et dit, en remontant les lunettes qui glissaient un peu sur son nez : "... Vous profitez d'une bien belle journée ?" |
| | Le parc était l'un des seuls lieux tranquille de l'école. En fait, c'était juste le jour puisque la nuit, il y avait souvent des créatures qui n'hésitaient pas à sortir. Neji n'aimait pas spécialement "se promener" au sens propre du terme, mais là, avec cette journée bien chargé, il en avait bien besoin. Soudain, il apperçut quelqu'un installé sur un banc. Pendant un instant, il se demanda si c'était encore un de ces elfes nouveaux qui ne savaient pas ou aller. Mais en s'avançant, il reconnut l'elfe qui leur servait d'infirmier. Neji n'aimait pas les elfes, mais lui était l'un des moins chiant : "Bonjours Monsieur Devanaia." |
| | (Privé Neji Irosawa) Anaër était un elfe guerrier-guerisseur. Cependant, à cause de certains petits problèmes, il n'avait pas pu achevé sa formation de guerisseur. Mais, là n'était pas le plus grave puisque, après tout, il apprendrais encore toute sa vie. Et, la Terre savait combien la vie d'un Elfe Aësìen était longue... Très très longue. Il était en plein coeur du parc mais la nature n'était pas la même ici qu'en Aësìe. Il était calme et tranquille. Et ne semblait guère être stressé. Cependant, c'était bien l'état d'esprit dans lequel il était. Il entendit du mouvement derrière lui et releva les lunettes sur son nez, sans pour autant tourner la tête. |
|
|